« Vétérinaire » : différence entre les versions
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A part dans les contes, on entend rarement un mouton ou un lion parler, et qui plus de ses maux de gorge et de rhumatismes ! Les vétérinaires seraient-ils donc, avant tout, des spécialistes du langage des animaux ? |
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A part dans les contes, on entend rarement un mouton ou un lion parler, et qui plus de ses maux de gorge et de rhumatismes ! Les vétérinaires seraient-ils donc, avant tout, des spécialistes du langage des animaux ?<br> Pas vraiment, mais leurs longues années d’études leur permettent d’accumuler une somme énorme de connaissances sur le fonctionnement des animaux. Ils savent également comment se manifestent les maladies qui les touchent<br> Quand il s’agit d’affections bien visibles, par exemple lorsqu’un animal s’est coincé un caillou dans une patte et qu’il boite, le diagnostic est facile. Mais, parfois, les causes de la maladie peuvent être plus complexes et le vétérinaire doit approfondir ses recherches.<br> Il interroge alors le propriétaire sur les habitudes de l‘animal et ce qui a pu changer dans son comportement. Est-ce qu’il mange avec le même appétit ? Est-ce qu’il est nerveux ? Agressif ? Ou, au contraire, reste-t-il prostré dans un coin ?<br> Tous ces indices, que l’on appelle « symptômes », orientent le vétérinaire dans ses recherches. Il fait également appel à de précieux outils d’analyse ou d’imagerie, comme la radiographie aux rayons X ou l’échographie, qui vont lui permettre de chercher, au-delà des apparences, ce qui ne va pas chez nos amis les bêtes. |
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<br> Pas vraiment, mais leurs longues années d’études leur permettent d’accumuler une somme énorme de connaissances sur le fonctionnement des animaux. Ils savent également comment se manifestent les maladies qui les touchent |
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<br> Quand il s’agit d’affections bien visibles, par exemple lorsqu’un animal s’est coincé un caillou dans une patte et qu’il boite, le diagnostic est facile. Mais, parfois, les causes de la maladie peuvent être plus complexes et le vétérinaire doit approfondir ses recherches. |
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<br> Il interroge alors le propriétaire sur les habitudes de l‘animal et ce qui a pu changer dans son comportement. Est-ce qu’il mange avec le même appétit ? Est-ce qu’il est nerveux ? Agressif ? Ou, au contraire, reste-t-il prostré dans un coin ? |
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<br> Tous ces indices, que l’on appelle « symptômes », orientent le vétérinaire dans ses recherches. Il fait également appel à de précieux outils d’analyse ou d’imagerie, comme la radiographie aux rayons X ou l’échographie, qui vont lui permettre de chercher, au-delà des apparences, ce qui ne va pas chez nos amis les bêtes. |
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Version du 23 juillet 2012 à 04:34
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Article à fusionner
Quelqu’un a proposé de fusionner cet article avec un autre article. Ils abordent peut-être le même sujet. Les raisons et les avis concernant cette proposition peuvent être discutés dans la page de discussion de l’article.
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A part dans les contes, on entend rarement un mouton ou un lion parler, et qui plus de ses maux de gorge et de rhumatismes ! Les vétérinaires seraient-ils donc, avant tout, des spécialistes du langage des animaux ?
Pas vraiment, mais leurs longues années d’études leur permettent d’accumuler une somme énorme de connaissances sur le fonctionnement des animaux. Ils savent également comment se manifestent les maladies qui les touchent
Quand il s’agit d’affections bien visibles, par exemple lorsqu’un animal s’est coincé un caillou dans une patte et qu’il boite, le diagnostic est facile. Mais, parfois, les causes de la maladie peuvent être plus complexes et le vétérinaire doit approfondir ses recherches.
Il interroge alors le propriétaire sur les habitudes de l‘animal et ce qui a pu changer dans son comportement. Est-ce qu’il mange avec le même appétit ? Est-ce qu’il est nerveux ? Agressif ? Ou, au contraire, reste-t-il prostré dans un coin ?
Tous ces indices, que l’on appelle « symptômes », orientent le vétérinaire dans ses recherches. Il fait également appel à de précieux outils d’analyse ou d’imagerie, comme la radiographie aux rayons X ou l’échographie, qui vont lui permettre de chercher, au-delà des apparences, ce qui ne va pas chez nos amis les bêtes.