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« Utilisateur:Lina3/Fictions et Poésies » : différence entre les versions

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== <br>Mes oeuvres ==
== <br>Mes oeuvres ==


Ici je publierais au fil du temps quelques poésies et quelques fictions (ou histoires). &nbsp;
Ici je publierais au fil du temps quelques poésies et quelques fictions (ou histoires). &nbsp;Cette première fic est une de mes fictions préférées :


{{Boîte déroulante|titre=13 ans...|contenu= Je m'appelle Lila et j'ai 12 ans et 364 jours. Eh oui ! En cette année de 1885, moi et ma soeur jumelle Myriam, allions avoir treize ans. Cela me faisait tout drôle : le chiffre 13 n'était-il pas un chiffre de malheur ? Contrairement à ma soeur, je suis superstitieuse et elle, non. Nous avons six soeurs cadettes prénommées :
- Gabrielle
- Rose
- Lily
- Violette
- Louise
- Victoria
Une grande soeur nommée Victoria, un frère aîné Louis-Victor et un frère cadet, Pierre-Louis.
Nous sommes ce que l'on peut appeler une famille nombreuse. Mais heureusement nous sommes très unis.
Ce soir-là, j'allais me coucher car mon anniversaire c'était le lendemain.
Je dis bonne nuit à Myriam et aux autres et je partis me coucher.
Nous dormions dans un grand dortoir chauffé avec une cheminée mais comme le carrelage était très froid, mère l'avait recouvert de grosses couvertures.
Lorsque je me réveillai il était 8 heures et je réalisai que j'avais 13 ans. Lorsque je mis mon manteau de pèlerine et que je sortis de ma chambre, je vis un mot griffonné à la hâte sur de la laine et qui disait : Mon enfant , joyeuses années à toi et à ta bien-aimée soeur, nous sommes partis vous faire des achats, avec Victoria, Pierre-Louis et Louis-Victor et nous ne reviendrons pas avant l'après-dîner. Au revoir et occupez-vous bien de vos soeurs.
Je fit bouillir un thé pour moi lorsque j'entendis une des
mes soeurs crier : " Myriam, Lila, il y a le feu à la maison, il y a le feu à la maison."
J'entendis les filles qui disaient: "Myriam, sors nous de là." J'entendis aussi Myriam qui descendait l'escalier et qui hurlait : "Lila, les petites sont en train d'étouffer viens m'aider." J'éteignis le thé et je la rejoignis.
Quand je rentrai dans la chambre, je vis que tout les lits brûlaient.
Mes soeurs suffoquaient et Lily qui était asthmatique avait perdu conscience. Je dis à Myriam : "Va prévenir les voisins pendant que moi j'essaie de sortir les filles de ce pétrin."
"Mais Lila", commença-t-elle.
"Il n'y a pas de mais qui tienne va chercher les voisins !"
Elle descendit à toute vitesse l'escalier tandis que moi je m'avançais d'un pas hésitant vers
les filles. J'avançais lorsque derrière moi , j'entendis un craquement sinistre.
Le plancher était en train de se fissurer.
Je prenais Gabrielle , Lily et Victoire dans mes bras et j'ordonnais aux filles de rester derrière moi quand je réalisai que nous étions prises
au piège. Gabrielle et Victoire perdirent conscience et j'entendis Lily dire : " Victoire arrive avec une échelle, il faut aller à la fenêtre." Je descendis de l'échelle avec les filles et je vis mes parents qui couraient en s'écriant : "Les enfants ça va ? Merci Lila." Curieuse façon de commencer ses treize ans, pas vrai ? }}&nbsp;


<br>{{Boîte déroulante|titre=Rencontre Inattendue...|contenu=Albus frappa à la porte, la mine boudeuse. Encore un tour chez la directrice ! Mais pourquoi James ne lui prêtait jamais sa carte !!!


== '''''l'héritière de Serpentard''''' ==
Un " Entrez ! " retentit et Albus tourna la poignée. La professeur Deauclaire lui faisait face. Albus l'avait toujours trouvé impressionante. Elle était grande, mince , droite et ses cheveux bouclés étaient réunis en un chignon si rigide qu'aucune boucle ne s'en échappait. Elle ressemblait tellement à la vieille McGonagall !!!
Lorsqu'elle l'aperçut, elle soupira.


{{Boîte déroulante|titre=Elle partira avec une partie de moi|contenu=
-" Encore vous Potter !!! Qu'avez-vous fait cette fois-ci ???


Couché près de sa maîtresse, le repentit contemplait cette jeune femme aux traits doux et gracieux. Leur histoire était un chemin tortueux partagée entre passion et interdit.
- J'ai réparé les chaussettes de ma grand-mère, railla-t-il.
Qui aurait cru que la blanche colombe tomberait amoureuse du vilain crapaud ? En tout cas, pas le Prince de Sang-mêlé...

Parce qu'ils étaient différents mais tellement semblables parfois...
La directrice Deauclaire soupira de nouveau.

« L'amour du passé est inné chez l'homme. Le passé émeut à l'envi le petit enfant et l'aïeule ; le passé c'est notre seule promenade et le seul lieu où nous puissions échapper à nos ennuis quotidiens, à nos misères, à nous-mêmes. »
- Bon... J'ai un invité important et je ne peut le faire patienter. Ce ne sera pas très long Potter. Attendez-moi ici.
Anatole France

Et elle partit. Albus s'assit en soupirant. La directrice allait encore prévenir ses parents !!! Il allait encore se faire crier dessur par sa mère. De rage, il tapa dans une corbeille.
18 ans auparavant

- Cela ne sert à rien si c'est ce que tu veux savoir.
La neige tombait, silencieuse comme la nuit. C'était déjà la mi-janvier et le temps était encore plus glacial.

Par un soir de janvier, Voldemort faisait les cents pas dans le Manoir des Malfoy. Sa compagne Eugénie Greenbourg, prêtresse de nom et Sang Pur, était en train de mettre au monde l'héritière ou l'hérité du Mal.
Albus se retourna vers celui qui venait de parler. Il semblait très très vieux. Il avait une longue barbe blanche, et des lunettes en demi-lune encadraient ses yeux bleux perçants.
Pendant ce temps, un jeune homme de 19 ans franchissait les grilles du Manoir et se dirigeait dans la Salle du Trône.

Au premier étage, les plaintes d'une femme en couche résonnaient dans la pièce. Ses cris étaient affreux, emplis de douleurs. La couche s'annonçait très mal et le docteur devait prendre une décision. Sauver la mère ou l'enfant ? Mais les deux ne pouvaient pas vivre sans que l'autre ne meure.
- Qui êtes vous ? demanda Al
Délicatement, il s'approcha de cette femme au teint fantomatique.
- Albus Dumbledore, enchanté et j'imagine que vous devez être un Potter ?
- Albus Dumbledore ? C'est vous ??? Mon père me parle souvent de vous !!!
- Eh bien c'est très gentil, j'ai toujours beaucoup aimé Harry.
- Tout le monde l'aime bien... grommela-t-il
- Hum Hum... Pas sûr .

Le jeune Potter se tourna vers le portrait de droite pour voir l'homme le plus moche qu'il n'avait jamais vu.

- Et bah vous êtes un crétin alors ! répliqua -t-il de mauvaise humeur
- Je vois que la politesse c'est toujours pas ça chez les Potter.
- Vous êtes qui vous ?

Pendant ce temps, Dumbledore observait avec amusement l'échange entre Albus et Rogue.

- Severus Rogue.
- Ah je vous connais aussi ! Mon père m'a parlé de vous.
- Ah oui et pourquoi ?
- Parce que je porte votre nom. Quoique quand je vois votre tête...
- Vous vous appelez Severus Potter ? Ah c'est d'un ridicule ce nom !!!
- Mais non je m'appelle Albus Severus Potter !!!

Il y eut un grand silence.

- Pourquoi ? Demanda Dumbledore
- Parce que mon père vous admirait. répondit Al d'un ton sceptique en regardant le portrait de Rogue.
- Mais c'est sûrement un autre Severus, ajouta-t-il
- Je vois que l'humour est de plus en plus nul. Albus Severus c'est encore plus ridicule !
- Et alors que devient notre cher Harry ? s'enquit le professeur Dumbledore
- Il est commandant du bureau des Aurors
- Un crétin pareil au ministère... Les pauvres railla Rogue.
- Ne parlez pas comme ça de mon père !!! répondit Albus en élevant le ton.
- Taisez vous Severus ! Et tu as des frères et soeurs Albus ?
- Vous êtes la première personne à me le demander, grogna - t-il
- Et pourquoi ? demanda Rogue
- Bah comme tout le monde lit la Gazette du sorcier et écoute les émissions plur savoir quand le grand Harry Potter se mouchera le nez, le fait qu'il ait des enfants ne passe pas inaperçu !!!
- Potter une célébrité ? Mais où va le monde...
- Dans le bon sens Severus, dans le bon sens et c'est grâce à Harry. Alors Albus comment s'appelle tes frères et soeurs ?
- J'ai un grand frère, James Sirius Potter et..
- Mais dites moi que c'est une blague ??? Le coupa Rogue.
- Severus , dit séchement Dumbledore.
- Le pauvre, comment va-t-il faire pour réussir dans la vie en portant à lui tout seul les trois pires noms de la terre ???
- Mon frère réussit très bien merci. Il est préfet, capitaine et poursuiveur de l'équipe de Quidditch et c'est le plus populaire du collège . répondit Al, fidèle.
- Et vous n'êtes que deux ?
- Non on a aussi une petite soeur , Lily.
- Lily, comme votre grand mère ? le coupa Rogue, d'un ton troublé
- Oui c'est ça.
- Lily et James Potter. C'est du Harry tout craché !! Et où sont-ils ?
- A Gryffondor. Lily est en 3ème année et James en 7ème.
- C'est toujours pareil avec vous les Potter ! 700 ans que vous allez chez les Gryffondors !!!
- Vous vous trompez. Je suis à Serpentard, répondit Al d'une voix de défi.

Il y eut un gros blanc.

- C'est une blague ? s'étonna Rogue
- Non c'est vrai. Et tout le monde dit que j'y ait bien ma place. A vrai dire aussi ici en fait.
-Pourquoi ? demanda Dumbledore
- Je passe mon temps en retenues. dit Al d'un air sombre.
- Chez les Potter c'est génétique. Même si vous êtes dans une autre maison.
-Eugénie... c'est vous ou l'enfant.
Albus allait répliquer lorsque la directrice Deauclaire entra.
Enragée, elle lui attrapa le bras.

-Sauvez mon enfant... j'ai assez vécu pour partir sans regret ! Dites au Seigneur que c'est mon plus beau cadeau d'adieu...
- Ah vous voilà Mr Potter ! J'ai entendu dire que vous avez collé tous les Gryffondor à leurs chaises ? C'est vrai ?
- Oui répondit Albus en ignorant les regard amusés des deux portraits.
Alors qu'un silence pesant planait dans la Salle du Trône, des cris de nouveau né se firent entendre. Subitement, le Lord releva la tête et se releva. Il ouvrit la porte mais une silhouette s'y tenait, un bébé dans les bras. Son regard était triste et des larmes coulaient en silence. Le médecin prit la parole.

Une heures de réprimande plus tard et avec un mois de retenues à son actif , Albus entendit en fermant la porte :
-Votre fille est son cadeau d'adieu...

- Un Potter à Serpentard les temps changent.
Prés du lit en baldaquin, une silhouette noire pleurait un corps inerte. Qui aurait-cru à cet instant là, que cet homme à genoux déversant toutes les larmes de son corps pouvait être le grand et redoutable Voldemort ? Personne à l'évidence.
- Et oui tout le monde change un jour mon cher Severus.
- Mais quand même, c'est troublant.
- Oui je suis d'accord avec vous, j'espère que le jeune Albus s'est intégré.
Dans la pièce d'à côté, Narcissa Malfoy contemplait ce nouveau né. Bientôt elle aussi, elle donnerait vie. Mais en entendant, la descendante de la famille Black pouvait sentir quelque chose de terrifiant au dessus du landau. Une ombre, murmure d'une peur sans nom. Elle était née sous les yeux de la mort.
- Pas ça. Il a bien dit que son frère était préfet ???? }}

Dans la pièce d'à côté, un nouveau-né braillait. A l'entendre ainsi le visage du Lord changea, passant de la tristesse à la haine. Avec perte et fracas, il démolit la porte donnant accès à la pièce où trônait le landau. Près de celui-ci, Narcissa Malfoy s'y tenait à côté, enceinte jusqu'au bout des ongles.
<br>{{Boîte déroulante|titre=Le seul cadeau qu'elle m'ait laissée|contenu=Y a-t-il un Dieu, là-haut? Car la mort me dévore, me déchire, m’ébouillante de l’intérieur. La douleur cuisante, celle de t’avoir survécu, celle de te voir inerte par terre, ton sang déjà sec dans ta bouche, cette bouche que je voudrais tant embrasser. Es-tu morte? Tes cils bougent, mais je dois halluciner… Non, tu es morte, c’est le souffle que produisent mes cris sourds. Je ne les entends même pas. Bonjour, mon amour, que fais-tu là dans mes bras, belle, froide, blanche et rouge? Non, c’est vrai, je deviens fou, mais je l’ai toujours été! Je dois rêver, je dois être empoisonné pour souffrir autant! S’il te plaît, ouvre les yeux, pleure, cris, hurle que tu ne veux pas me voir, hurle que tu m’aimes, déchire moi les oreilles de ta voix, ma douce aimée! Je t’en prie, ne sois pas morte! Mon Dieu, Seigneur! Pourquoi?
Avec fureur, il s'approcha du petit lit et regarda de toute sa hauteur son héritière. Le dégoût dégoulinait de son visage blême et blafard. Il se souvenait ce que lui avait dit son médecin personnel « Votre fille est son cadeau d'adieu » Non ! Cette chose était son malheur, son fardeau mais pas son cadeau. Sa femme était morte pour la mettre au monde ; le Lord savait que sa perte était son plus grand malheur. Il aurait aimé la voir en vie encore une fois, elle... son Joyau, sa vie. Il ne pouvait pas vivre ainsi, maintenant qu'elle n'était plût.
Attend, reste là, surement qu’il reste une partie de toi, sur ton corps, sur ton cœur, qui soit encore chaude, tiède, vivante ou presque, que je puisse mordre et crier, embrasser, chérir l’espace d’une seconde. Tu es tellement petite, une enfant encore, cette femme que j’ai toujours aimé! La douleur… Présente jusque dans mon sang.
Voldemort regarda une dernière fois cette maudite créature. Il ne voulait plus la voir, plus entendre parler d'elle et déchainer sa fureur sur les Sangs de Bourbes...
Cette idée folle qui me traverse l’esprit chaque seconde de ce court moment, celle où je vois ta poitrine se soulever de nouveau. Mon amour.
Rogue était resté dans le couloir et lorsqu'on son Maître sortit, il se leva. Il eut peur à cet instant, les yeux du Lord étaient injectés de sang et de colère.
Il y a un enfant qui pleure, celui qui aurait dû être le nôtre, le mien. Celui pour qui tu es morte à présent, un bébé fragile, innocent, même pas baptisé. Cet enfant au front blessé, ce silence à travers ses pleurs, cette panique dans son regard, cette détresse…
S’il y a un Dieu quelque part dans ce monde horrible , il a oublié quelque chose. Je tremble ma vie, et malgré moi, mes mains s’accroche à ta robe, se glisse dessous : tes cuisses sont froides, sèches. Je pleure, mon amour, je te veux, je t’ai toujours voulu, je t’aime. Je t’aime…
-Séverus... débarrasse-moi de cette créature avant que le jour soit levé ! Cria t-il.
Ne sois pas morte.
Il fait noir. Je regarde par la fenêtre, rien. Je lève les yeux vers le ciel, si rien. Je te vois tout transparente, tellement rien. Je m'accroche au souvenir de toi dans le néant, loin, tellement loin que je meurs. Je m'évanouis dans la nuit, avec ton âme furtive, paralysée comme l'hiver. Je tombe.
Le jeune Maître des Potions le regarda effaré par sa demande. Son éternel masque tomba dans un éclatement de silence.
Je tremble et je m'emmêle.
Mon cœur rampe…
Avec une couverture de cachemire noir, il langea l'enfant et partit sans un mot. Narcissa sanglotait. Tuer une créature innocente est un acte abominable.
Dehors il pleut mes larmes.
C'est dans un silence dés plus horrible que cet homme prit une couverture en cachemire noir et langea la petite endormie.
Puis rien. }}
A travers le Manoir, il regardait ce bébé, car il ne savait que faire. Il ne pouvait pas se résigner à tuer encore une nouvelle fois... le Prince de Sang-mêlé avait beaucoup trop abattu de sorciers depuis que son Maitre lui avait apposé la Marque. Il n'y avait qu'une seule personne en qui il avait une confiance totale.

<br>{{Boîte déroulante|titre=Poèmes pour Harry Potter|contenu=
Le vert est à tes yeux
Après avoir traversé les grilles du Manoir des Malfoy, Séverus transplanna devant les grilles de Poudlard. Malgré le froid, la neige et l'heure tardive, il se dirigea vers l'intérieur et emprunta les Grands Escaliers sous l'œil curieux des tableaux. Traversant à toute allure les dédales, il rentra sans frapper dans le Bureau du Directeur, qui était en grande discussion avec la Directrice-Adjointe : Minerva MacGonagall.
Ce que le bleu est à la mer.
A cette entrée, ils cessèrent leur chamaillerie habituelle. Soudainement, un froid s'était abattu dans le bureau. Personne ne parlait, personne ne réagissait. Dumbledore se douta que son ancienne élève, Eugénie Greenbourg devait être morte. Car Séverus tenait son enfant comme la chose la plus importante. A son tour Minerva comprit.
Le courage brûle comme un feu
Dans ton coeur rempli de mystères.
-Tom vous a demandé de la tuer ? Demanda le vieux Directeur.
Tes parents vivent en toi,
Ils te suivent et en sont fiers,
La mâchoire du Professeur des Potions se crispa. Pour une fois dans sa vie, il laissa voir ses émotions. Son regard s'assombrit et Albus le regardait impassible, tellement qu'il ne savait plus quoi faire. Il savait que Tom pouvait être un être insensible, mais pas au point de tuer son unique héritière.
Dans ton dur combat
Le vieux directeur se leva et s'approcha de Séverus, mais il recula. Il sentait quelque chose de bizarre, ils étaient entourés de quelque chose qu'on ne pouvait pas attraper. « Serait-ce la mort ? » pensa t-il.
Contre une vie amère.
Les minutes défilèrent et personne n'osait parler. Finalement, Albus brisa le silence.
Témoin de ton pouvoir,
Une cicatrice traverse ton front.
- Minerva, nous devons lui trouver une famille hors d'Angleterre... elle... Comment s'appelle t-elle ? Demanda t-il en se retournant vers Rogue.
Faite par le pire des mages noirs,
Quand tu étais petit garçon,
Lui, il semblait être surpris, à vrai dire, il n'en avait aucune idée. A son tour, Minerva se leva et s'approcha d'eux. Elle sentit quelque chose. Au lieu de s'attarder sur cette sensation, la Directrice des Gryffondors posa pour la première fois, une main sur l'épaule de son jeune collègue. Malgré la non manifestation d'une quelconque émotion, elle pouvait ressentir un mal être, presque comme un dégout.
Elle te prévient
De ses sombres desseins.
-Donnez-lui un prénom Séverus ?
Sous tes cheveux noirs en pagaille,
Vivement, le concerné pivota.
Un esprit vif et mûr
-Je ne suis pas la bonne personne...
Attend le jour de la grande bataille
-Détrompez-vous !
Dont tu sortiras vainqueur, j'en suis sûre!
-Albus...je suis venue ici pour vous l'à confier et non lui donner un quelconque nom ! Cracha t-il tel un venin.
Avec l'aide de tes amis,
-Ca ne vous coûte rien de lui donner un nom. Dit-il calmement mais avec fermeté.
Tu relèves les défis,
Au Quidditch, en famille.
Ensembles, ils allèrent s'asseoir au Bureau. Rogue ne pouvait détacher son regard de cette petite endormie. Elle avait quelque chose de spéciale, mais le Maître des Potions n'arrivait pas à mettre le doigt dessus. Il avait l'impression que quelque chose disparaissait de son espace vitale.
Vous êtes si proches,
Que Ron oublie qu'Hermione est une fille.
Se penchant, Minerva contempla ce beau nouveau-né. Intérieurement, elle se disait qu'en grandissant, elle sera d'une grande beauté. Quand à Séverus, son cerveau tournait à toute allure. En la regardant, beaucoup lui en venaient à l'esprit... mais lequel ? Là résidait toute la question. Ce bébé n'était pas n'importe qui ! Une héritière se doit de porter un nom majestueux, même si elle ne saura rien pendant sa vie. Mais quel prénom lui donner ?
Allez Harry, tu les as tous dans ta poche !
Alexandra ? Victoire ? Hélène ? Sixtine ? Ambroise ? Vraiment, il l'avait le choix ! Enfin, il coupa ce silence qui s'était installé.
Sors le grand jeu,
Sois courageux,
Elle s'appellera Olympe... car quiconque qui porte ce prénom est indestructible. Eileen comme ma mère, et... Eugénie en souvenir de la sienne.
Et vis heureux.

Un sentiment affreux lui monta et lui obstrua la gorge. Il avait peur pour cette petite. D'ailleurs cela l'étonna. Il n'avait jamais aimé personne – à part sa douce mère- et là, il se prenait en flagrant d'élit de compassion pour une petite chose qu'il tenait depuis plus d'une demi-heure.

*Je vois une peur ancestrale
- Albus, trouvez lui une bonne famille et qu'elle grandisse dans le plus grand secret hors de notre Monde.
*Devant un dragon de feu
*Quelques tours, rien de spécial
Tendant les bras, Dumbledore prit Olympe. Dans un tournoiement, le Prince partit sans un mot, sans un dernier regard vers la petite. En refermant la grande porte du Bureau, il entendit Dumbledore dire :
*Et un geste valeureux.

-Et pourtant un jour, elle devra savoir...
*Je vois une ombre fibrillaire
*Au détour d'un couloir
Las et fatigué, le Maître des Potions redescendit dans les cachots. Les évènements de cette nuit ne cessaient de lui revenir en mémoire. Il avait eu de la compassion pour cet enfant, car elle venait d'être arrachée à sa seule famille... mais elle était vivante. }}
*C'est une cape sorcière
*Pour échapper à Rusard

*Je vois sur son front un éclair
*Témoin d'un passé douloureux
*Où son père et sa mère
*Ont disparu dans les cieux

*Je vois une baguette magique
*De Voldemort la soeur
*Deux amis sympathiques
*C'est le monde d'Harry Potter. }}&nbsp;

<br>

{{Boîte déroulante|titre=Poèmes pour Léane Buckanon|contenu=
Tu me fais languir,
Ton refus me fait souffrir,
Mais un jour viendra,
Où tu tomberas enfin dans mes bras.


Mon coeur est en peine
De ne pas te serrer dans tes bras
Je suis telle une âme qui se promène
Te cherchant au detour d'un couloir
Me verras-tu un jour comme je te vois ?
Moi le solitaire dont le coeur n'est en joie que lorsqu'il t'aperçoit. }}

<br>{{Boîte déroulante|titre=Poèmes pour Hermione Granger|contenu=
Vous dont les yeux noisette me font vibrer,
Vous à l'esprit si vif et au coeur solitaire,
Vous que je désire et que j'aime depuis si longtemps,
Joyeuse Saint-Valentin, mon amour. }}

&nbsp;

{{Boîte déroulante|titre= Naissance de Poudlard|contenu=
Il exista, nombre de siècle avant notre ère
Quatre sorciers, figurant parmi les plus grands
Qui ensemble on bâtit la plus grande des affaires
Celle de leur temps, celle, aussi, de tous les temps

Le hardi Gryffondor, un sorcier renommé
Avec l'aide du très malin Salazar Serpentard
La travailleuse, Poufsouffle et la sage Serdaigle
Leurs effort combinés, donnèrent vie à Poudlard

Ainsi naquit cette merveilleuse école
Où chacun a une fonction, chacun a un rôle
Où chacun vise le maximum du savoir

Pour faire avancer toujours dans le droit chemin
Suivant pour chacun d'entre nous un but commun
Vois un jour son nom dans les annales de l'histoire }}

<br>

{{Boîte déroulante|titre=Si j'était à Poudlard...|contenu=
Si j'était à Poudlard,
Je serais à Serpentard (d'après un test effectué sur Poudlard.org)}}

Version du 29 août 2012 à 06:14

 

Page personnelle  Mes contributions  À faire  Proverbes  Fictions et Poésies  Page de discussion


Mes oeuvres

Ici je publierais au fil du temps quelques poésies et quelques fictions (ou histoires).  Cette première fic est une de mes fictions préférées :


l'héritière de Serpentard


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