Jean-Marie Benoist

Article à vérifier Le texte qui suit a besoin de quelqu’un pour le vérifier. Il contient peut-être des informations inexactes, biaisées ou mal expliquées. Tu peux essayer de l’améliorer ou bien discuter des points à rectifier. Tout le monde peut librement participer, alors merci de ton aide !

Article à mettre en forme Le texte qui suit a besoin de quelqu’un pour le mettre en forme. Il a peut-être besoin d’être mieux structuré, d’avoir des liens et d’être classé. Tu peux essayer de l’améliorer ou bien discuter des points à rectifier. Tout le monde peut librement participer, alors merci de ton aide !

Jean-Marie Benoist

Après des études supérieures en hypokhâgne au lycée Henri IV et khâgne au lycée Louis-le-Grand à Paris, Jean-Marie Benoist a été reçu à l’École normale supérieure de la rue d’Ulm. Agrégé de philosophie, il a été professeur au lycée français Charles-de-Gaulle de Londres. Il a été ensuite maître assistant de Claude Lévi-Strauss au Collège de France. Il faisait partie, avec Bernard-Henri Lévy, Maurice Clavel, André Glucksmann, Jean-Paul Dollé, Gilles Susong ou encore Luc Ferry, etc., de ceux que l’on a nommés, à partir de la fin des années 1970, les « nouveaux philosophes », une appellation générique qu’ils s’étaient donnée dans un dossier des Nouvelles littéraires, magazine Littéraire confié à Bernard-Henri Lévy par le rédacteur en chef du magazine, Jean-Marie Borzeix. L’appellation a fait florès. En 1978, Jean-Marie Benoist s’était porté candidat aux élections législatives contre Georges Marchais, le dirigeant du Parti communiste français, sans succès. Jean-Marie Benoist a publié de très nombreux textes dans des revues et journaux. Il a, pendant quelque temps, été chroniqueur au Quotidien de Paris, dirigé par Philippe Tesson
                                                          source :wikipédia