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'''''Le Journal de Ma Yan''''' est le journal intime d'une écolière de la province chinoise du Ningxia qui témoigne de la difficulté pour les filles des milieux ruraux à bénéficier de l'instruction publique, devenue payante en [[Chine|Chine]]. |
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Elle parle aussi des difficultés de ses parents, petits [[Agriculteur|agriculteurs]] pauvres, n'ayant plus les moyens de l'envoyer à l'école à l'âge de 12 ans. |
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LA CHINE<br>le journal de Ma Yan(馬燕)<br>Le Journal de Ma Yan (en chinois: 马燕日记, en anglais: "The Diary of Ma Yan: The Struggles and<br>Hopes of a Chinese School Girl"), est le journal intime d'une écolière de la<br>province chinoise du Ningxia (en chinois: 宁夏) qui témoigne de la<br>difficulté pour les filles des milieux ruraux à bénéficier de<br>l'instruction publique, devenue payante en Chine.<br>Ma Yan (en chinois: 马燕) y raconte ses journées de cours (chinois, anglais,<br>musique, sport ...) et explique que dans son école, on utilise encore<br>les châtiments corporels, alors qu'ils ont été interdits. Elle<br>y explique aussi la dureté de la vie dans une petite<br>contrée chinoise du nordouest de la Chine. À 12 ans, les<br>rêves de Man Yan s'effondrent, ses parents, des paysans<br>très pauvres, n'ont plus les moyens de l'envoyer à l'école.<br>Désespérée, la jeune fille écrit plusieurs carnets où elle<br>raconte la difficulté de son quotidien.<br>Le journaliste Pierre Haski, à l'époque correspondant de<br>Libération à Pékin, a recueilli les carnets de Ma Yan, quilui avaient été remis par la mère de celleci lors d'un<br>reportage. Son assistante He Yanping en avait assuré la<br>traduction, révélant un témoignage fort, ensuite publié en<br>France puis dans de nombreux pays.<br>L'association Enfants du Ningxia, constituée ensuite, a<br>non seulement permis d'aider Ma Yan, mais soutient<br>aussi désormais les études de 130 élèves boursiers. Elle<br>continue par différents événements à rassembler des<br>dons finançant l'enseignement dans le Ningxia. Ma Yan<br>est actuellement étudiante à Paris.<br>biographie de Pierre Haski<br>Pierre HaskiPierre Haski lors des Assises du journalisme à Lille en mai 2008<br>Pierre Haski, né le 8 avril 1953 à Tunis (Tunisie), est un journaliste français, cofondateur et collaborateur du site<br>Rue89.<br>Biographie[modifier | modifier le code]<br>Pierre Haski est diplômé du Centre de formation des journalistes (CFJ) de Paris en 1974.<br>Journaliste à l'Agence FrancePresse à partir de 1974 il est correspondant pour cette dernière en Afrique du Sud<br>entre 1976 et 1980.<br>En 1981 il rejoint le journal Libération, pour y travailler dans le domaine international, D'abord comme<br>responsable de la rubrique Afrique ensuite entre1988 et 1993 comme chargé de la rubrique diplomatique. En<br>1993 il devient correspondant de Libération à Jérusalem. Il revient à Paris en 1995 comme chef du serviceinternational et rédacteur en chef adjoint. En 2000 le journal l'envoie à Pékin comme correspondant, il y reste cinq<br>ans et y tient un blog « Mon journal de Chine ». L'accès à ce blog finit par être bloqué par les autorités chinoises<br>en raison de la liberté de ton qu'il adopte (mais il est aujourd'hui de nouveau accessible). De janvier 2006<br>jusqu'en 2007, date de son départ de Libération, il est directeur adjoint de la rédaction1.<br>Il crée en mars 2007 le site d'informations Rue89 avec Arnaud Aubron, Michel LévyProvençal, Laurent Mauriac, et<br>Pascal Riché.<br>À partir de septembre 2007, il devient également chroniqueur sur Europe 1 tous les mardis et jeudis matins à 7<br>heures 45.<br>monde chinois<br>e monde chinois est composé de l'ensemble des pays du monde qui sont majoritairement de culture<br>chinoise. Le monde chinois comprend donc :<br>● la Chine (中国, 1,4 milliard d'habitants), y compris Hong Kong (香港, 7 millions) et Macao (澳門,<br>520 000) ;<br>● Taïwan (台灣, 23 millions) ;<br>● Singapour (新加坡, 5 millions).<br>Ce monde chinois a également eu une forte influence historique, religieuse et culturelle sur des pays tels le<br>Japon (127 millions d'habitants), les deux Corées (75 millions d'habitants) et le Viêt Nam (90 millions<br>d'habitants). Ces 3 derniers pays écrivaient également tous avec des caractères chinois autrefois.<br>Langues<br>La Chine, le Japon, Taïwan, Hong Kong et Singapour ont utilisé et utilisent encore au moins en partie les<br>caractères chinois. La Corée du Sud ne les utilise plus que très marginalement, même si un millier de<br>caractères sont toujours enseignés à l'école. Le Viêt Nam et la Corée du Nord ne les utilisent presque plus<br>(cela se limite aux temples et à quelques fêtes lunaires).<br>En Chine on parle officiellement le mandarin, mais également de nombreuses autres langues<br>(principalement wu, cantonais pour les Hans), les régions autonomes ont leurs propres langues officielles en<br>plus du mandarin (mongol, ouïghour, tibétain, etc.) et différents dialectes de ces langues ; à Taïwan et à<br>Singapour, on parle officiellement le mandarin et beaucoup le minnan (également utilisé sur le continent).<br>ÀHong Kong (ancienne concession britannique) et à Macao (ancienne concession portugaise), on parle le<br>cantonais et depuis la rétrocession à la Chine, de plus en plus le mandarin.<br> |
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Version du 15 mai 2014 à 19:16
Le Journal de Ma Yan est le journal intime d'une écolière de la province chinoise du Ningxia qui témoigne de la difficulté pour les filles des milieux ruraux à bénéficier de l'instruction publique, devenue payante en Chine.
Elle parle aussi des difficultés de ses parents, petits agriculteurs pauvres, n'ayant plus les moyens de l'envoyer à l'école à l'âge de 12 ans.
Les carnets de Ma Yan ont été remis par la mère de la fille à Pierre Haski, journaliste français.
Le livre est édité par Hachette Jeunesse.