« Galahad » : différence entre les versions
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[[Image:Galahad ou Galaad par George Frederic Watts.jpg|thumb|right|110px|« Sir Galahad », par George Frederic Watts, 1888.]]'''Galahad''', ou '''Galaad''', est le plus jeune des [[Chevaliers de la Table ronde|chevaliers de la Table ronde]] dans la [[Légende arthurienne|légende arthurienne]]. Il est le fils du chevalier [[Lancelot du Lac|Lancelot du Lac]] et d'[[Ellan|Ellan]], la fille de [[Pelleas|Pelleas]], le Roi Pêcheur, gardien du [[Graal|Saint Graal]]. |
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Galahad était unique à la cour du [[Roi Arthur|roi Arthur]], car aucun chevalier ne pouvait se prétendre plus vaillant que lui et lui seul avait vu le [[Graal|Saint Graal]] dans sa totalité. Il se peut même qu'il ait manipulé cette coupe sacrée, puisqu'une version du récit arthurien précise que "sire Galahad prit le corps de Notre Seigneur entre ses mains" puis mourut.<br> |
Galahad était unique à la cour du [[Roi Arthur|roi Arthur]], car aucun chevalier ne pouvait se prétendre plus vaillant que lui et lui seul avait vu le [[Graal|Saint Graal]] dans sa totalité. Il se peut même qu'il ait manipulé cette coupe sacrée, puisqu'une version du récit arthurien précise que "sire Galahad prit le corps de Notre Seigneur entre ses mains" puis mourut.<br> |
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Version du 28 janvier 2009 à 16:11
Galahad, ou Galaad, est le plus jeune des chevaliers de la Table ronde dans la légende arthurienne. Il est le fils du chevalier Lancelot du Lac et d'Ellan, la fille de Pelleas, le Roi Pêcheur, gardien du Saint Graal.
Galahad était unique à la cour du roi Arthur, car aucun chevalier ne pouvait se prétendre plus vaillant que lui et lui seul avait vu le Saint Graal dans sa totalité. Il se peut même qu'il ait manipulé cette coupe sacrée, puisqu'une version du récit arthurien précise que "sire Galahad prit le corps de Notre Seigneur entre ses mains" puis mourut.
Lorsque Joseph d'Arimathie finalement revint, Galahad fut autorisé à quitter le monde. Joseph permit d'abord au pur et humble chevalier de tenir le Graal quelques instants, puis Galahad s'agenouilla pour implorer sa délivrance, son âme s'échappa soudain de son corps, « et une multitude d'anges la portèrent au ciel ».
Avant que Galahad ne prît place sur le siège périlleux, aucun chevalier n'avait obtenu le droit de l'occuper sans être instantanément puni par les éléments.
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