« Tournoi (Moyen Âge) » : différence entre les versions
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[[Image:Tournoi.jpg|thumb|right|Reconstitution d'une joute équestre.]] Les chevaliers s'habillaient en armure et avaient comme arme une lance avec, à son bout, un petit bout de mousse pour ne pas blesser l'adversaire. |
[[Image:Tournoi.jpg|thumb|right|Reconstitution d'une joute équestre.]] Les chevaliers s'habillaient en armure et avaient comme arme une lance avec, à son bout, un petit bout de mousse pour ne pas blesser l'adversaire. |
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Les chevaliers se mettaient l'un en face de l'autre, à une distance d'à peu près 100 mètres, puis s'élançaient l'un vers l'autre pour rompre le maximum de lances( |
Les chevaliers se mettaient l'un en face de l'autre, à une distance d'à peu près 100 mètres, puis s'élançaient l'un vers l'autre pour rompre le maximum de lances (et non de désarçonner). |
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Version du 19 octobre 2011 à 14:20
![]() | Ce terme peut avoir une autre signification. Pour les autres définitions, lis Tournoi ! |
Le tournoi, au Moyen Âge, était un ensemble d'épreuves et d'exercices de combat pratiquées entre deux chevaliers ou plusieurs troupes de combattants, généralement à cheval.
Les tournois avaient lieu devant un public, et notamment sous le regard des dames. Ils constituaient de véritables fêtes du Moyen Âge.
Avant le début du tournoi, les chevaliers devaient saluer les nobles et les seigneurs dans les tribunes, puis le tournoi pouvait commencer.
Histoire
Inventés vers le Xe siècle, les tournois n'étaient d'abord pas très connus par les seigneurs, mais au cours des siècles, ils devinrent l'un de leurs divertissements favoris. Plusieurs royaumes pouvaient s'affronter. Ils prenaient alors leur plus grand champion qui allait combattre l'autre chevalier.
Épreuves
Durant les tournois, il existait différentes épreuves, la plus connue étant la joute équestre.
Joute équestre
Les chevaliers s'habillaient en armure et avaient comme arme une lance avec, à son bout, un petit bout de mousse pour ne pas blesser l'adversaire.
Les chevaliers se mettaient l'un en face de l'autre, à une distance d'à peu près 100 mètres, puis s'élançaient l'un vers l'autre pour rompre le maximum de lances (et non de désarçonner).