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- Mais quand même, c'est troublant.
- Mais quand même, c'est troublant.
- Oui je suis d'accord avec vous, j'espère que le jeune Albus s'est intégré.
- Oui je suis d'accord avec vous, j'espère que le jeune Albus s'est intégré.
- Pas ça. Il a bien dit que son frère était préfet ???? }}
- Pas ça. Il a bien dit que son frère était préfet ???? }}


<br>{{Boîte déroulante|titre=Le seul cadeau qu'elle m'ait laissée|contenu=Y a-t-il un Dieu, là-haut? Car la mort me dévore, me déchire, m’ébouillante de l’intérieur. La douleur cuisante, celle de t’avoir survécu, celle de te voir inerte par terre, ton sang déjà sec dans ta bouche, cette bouche que je voudrais tant embrasser. Es-tu morte? Tes cils bougent, mais je dois halluciner… Non, tu es morte, c’est le souffle que produisent mes cris sourds. Je ne les entends même pas. Bonjour, mon amour, que fais-tu là dans mes bras, belle, froide, blanche et rouge? Non, c’est vrai, je deviens fou, mais je l’ai toujours été! Je dois rêver, je dois être empoisonné pour souffrir autant! S’il te plaît, ouvre les yeux, pleure, cris, hurle que tu ne veux pas me voir, hurle que tu m’aimes, déchire moi les oreilles de ta voix, ma douce aimée! Je t’en prie, ne sois pas morte! Mon Dieu, Seigneur! Pourquoi?

{{Boîte déroulante|titre=Le seul cadeau qu'elle m'ait laissée|contenu=Y a-t-il un Dieu, là-haut? Car la mort me dévore, me déchire, m’ébouillante de l’intérieur. La douleur cuisante, celle de t’avoir survécu, celle de te voir inerte par terre, ton sang déjà sec dans ta bouche, cette bouche que je voudrais tant embrasser. Es-tu morte? Tes cils bougent, mais je dois halluciner… Non, tu es morte, c’est le souffle que produisent mes cris sourds. Je ne les entends même pas. Bonjour, mon amour, que fais-tu là dans mes bras, belle, froide, blanche et rouge? Non, c’est vrai, je deviens fou, mais je l’ai toujours été! Je dois rêver, je dois être empoisonné pour souffrir autant! S’il te plaît, ouvre les yeux, pleure, cris, hurle que tu ne veux pas me voir, hurle que tu m’aimes, déchire moi les oreilles de ta voix, ma douce aimée! Je t’en prie, ne sois pas morte! Mon Dieu, Seigneur! Pourquoi?
Attend, reste là, surement qu’il reste une partie de toi, sur ton corps, sur ton cœur, qui soit encore chaude, tiède, vivante ou presque, que je puisse mordre et crier, embrasser, chérir l’espace d’une seconde. Tu es tellement petite, une enfant encore, cette femme que j’ai toujours aimé! La douleur… Présente jusque dans mon sang.
Attend, reste là, surement qu’il reste une partie de toi, sur ton corps, sur ton cœur, qui soit encore chaude, tiède, vivante ou presque, que je puisse mordre et crier, embrasser, chérir l’espace d’une seconde. Tu es tellement petite, une enfant encore, cette femme que j’ai toujours aimé! La douleur… Présente jusque dans mon sang.
Cette idée folle qui me traverse l’esprit chaque seconde de ce court moment, celle où je vois ta poitrine se soulever de nouveau. Mon amour.
Cette idée folle qui me traverse l’esprit chaque seconde de ce court moment, celle où je vois ta poitrine se soulever de nouveau. Mon amour.
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Dehors il pleut mes larmes.
Dehors il pleut mes larmes.
Puis rien. }}
Puis rien. }}


{{Boîte déroulante|titre=Poèmes à Harry Potter|contenu=
Le vert est à tes yeux
Ce que le bleu est à la mer.
Le courage brûle comme un feu
Dans ton coeur rempli de mystères.
Tes parents vivent en toi,
Ils te suivent et en sont fiers,
Dans ton dur combat
Contre une vie amère.
Témoin de ton pouvoir,
Une cicatrice traverse ton front.
Faite par le pire des mages noirs,
Quand tu étais petit garçon,
Elle te prévient
De ses sombres desseins.
Sous tes cheveux noirs en pagaille,
Un esprit vif et mûr
Attend le jour de la grande bataille
Dont tu sortiras vainqueur, j'en suis sûre!
Avec l'aide de tes amis,
Tu relèves les défis,
Au Quidditch, en famille.
Vous êtes si proches,
Que Ron oublie qu'Hermione est une fille.
Allez Harry, tu les as tous dans ta poche !
Sors le grand jeu,
Sois courageux,
Et vis heureux.


Je vois une peur ancestrale
Devant un dragon de feu
Quelques tours, rien de spécial
Et un geste valeureux.

Je vois une ombre fibrillaire
Au détour d'un couloir
C'est une cape sorcière
Pour échapper à Rusard

Je vois sur son front un éclair
Témoin d'un passé douloureux
Où son père et sa mère
Ont disparu dans les cieux

Je vois une baguette magique
De Voldemort la soeur
Deux amis sympathiques
C'est le monde d'Harry Potter. }}

Version du 15 février 2012 à 22:42

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Ici je publierais au fil du temps quelques poésies et quelques fictions (ou histoires).


 






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