« François Guillimann » : différence entre les versions
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François Guillimann |
'''François Guillimann''', né à [[Fribourg (Suisse)|Fribourg]] ([[Suisse|Suisse]]) en 1568 et mort à [[Freiburg-en-Brisgau]] ([[Allemagne|Allemagne]]) le 14 octobre 1612, est un [[Poète|poète]] et [[Historien|historien]] suisse. Il est originaire de [[Romont (Fribourg)|Romont]], dans le [[Canton de Fribourg|canton de Fribourg]]. |
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| ⚫ | [[Image:College Saint Michel Fribourg.JPG|thumb|right|Collège de St-Michel fondé par les Jésuites en 1582.]]François Guillimann passe sa jeunesse à [[Fribourg (Suisse)|Fribourg]] où il fut un des premiers élèves du Collège Saint-Michel, fondé par les [[Compagnie de Jésus|Jésuites]] en 1582. Après, il est parti au ''Collegium Helveticum'' de [[Milan|Milan]], puis il a rejoint l’université de [[Dillingen|Dillingen]] (Allemagne). |
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Mais de petits problèmes surgirent et il dût quitter tristement la ville de Soleure. François Guillimann intriguait en secret et a laissé échapper des paroles indélicates pour le roi de France. Il fut définitivement destitué, rayé du livre des bourgeois et expulsé de la ville. François Guillimann quitta Soleure avec grand regret mais l’ambassadeur d’Espagne, Comte Alonzo Casati, l’engagea dès 1595 comme secrétaire de l’ambassade espagnole à Lucerne où il se livra à des recherches historiques sur la Suisse ainsi qu’à la poésie. Tout ce qu’il écrivait était en latin car c’était la langue la plus pratiquée pour écrire à cette époque-là. Il légua ses antiquités au 13 cantons de Suisse et la Suisse lui versa la somme de 168 livres. En 1605, François Guillimann émigra à Fribourg-en-Brisgau. Dès 1606, il fut nommé professeur d’histoire dans cette même université. |
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Alberto Hernandez |
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Mais de petits problèmes surgissent et il doit quitter tristement la ville de [[Soleure|Soleure]] : François Guillimann intriguait en secret et a laissé échapper des paroles indélicates pour le [[Liste des monarques de France|roi de France]]. Il a été définitivement destitué, rayé du livre des bourgeois et expulsé de la ville. |
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François Guillimann quitte [[Soleure|Soleure]] avec grand regret mais l’ambassadeur d’Espagne, le comte Alonzo Casati, l’engagea dès 1595 comme secrétaire de l’ambassade espagnole à [[Lucerne|Lucerne]] où il se livra à des recherches historiques sur la [[Suisse|Suisse]] ainsi qu’à la poésie. Tout ce qu’il écrivait était en [[Latin|latin]] car c’était la langue la plus pratiquée pour écrire à cette époque-là. |
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Collège de St.-Michel fondé par les Jésuites en 1582.<br> |
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Il légue ses antiquités aux 13 [[Canton suisse|cantons suisses]] et la [[Suisse|Suisse]] lui verse la somme de 168 livres. |
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En 1605, François Guillimann émigre à [[Fribourg-en-Brisgau|Fribourg-en-Brisgau]]. Dès 1606, il est nommé professeur d’histoire dans l'université de cette ville. |
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== Rue == |
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Il y a une [http://goo.gl/SZu7w rue François Guillimann] à Fribourg. |
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[[Catégorie:Temps_modernes_(XV-XVIIIe_siècle)]] |
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[[Catégorie:Histoire_de_l'Allemagne]] |
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Ville de Fribourg-en-Brisgau |
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[[Catégorie:Histoire_de_la_Suisse]] |
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<br>1ère livre de François Guillimann |
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Dernière version du 17 mars 2013 à 18:23
François Guillimann, né à Fribourg (Suisse) en 1568 et mort à Freiburg-en-Brisgau (Allemagne) le 14 octobre 1612, est un poète et historien suisse. Il est originaire de Romont, dans le canton de Fribourg.
Jeunesse
François Guillimann passe sa jeunesse à Fribourg où il fut un des premiers élèves du Collège Saint-Michel, fondé par les Jésuites en 1582. Après, il est parti au Collegium Helveticum de Milan, puis il a rejoint l’université de Dillingen (Allemagne).
Dès 1590, il devint directeur de l’école latine de la ville de Soleure, il contracta mariage avec une femme de Fribourg-en-Brisgau, Agnès Viel, dont il eut deux enfants.
Début et milieu de sa carrière
Mais de petits problèmes surgissent et il doit quitter tristement la ville de Soleure : François Guillimann intriguait en secret et a laissé échapper des paroles indélicates pour le roi de France. Il a été définitivement destitué, rayé du livre des bourgeois et expulsé de la ville.
François Guillimann quitte Soleure avec grand regret mais l’ambassadeur d’Espagne, le comte Alonzo Casati, l’engagea dès 1595 comme secrétaire de l’ambassade espagnole à Lucerne où il se livra à des recherches historiques sur la Suisse ainsi qu’à la poésie. Tout ce qu’il écrivait était en latin car c’était la langue la plus pratiquée pour écrire à cette époque-là.
Fin de sa vie
Il légue ses antiquités aux 13 cantons suisses et la Suisse lui verse la somme de 168 livres.
En 1605, François Guillimann émigre à Fribourg-en-Brisgau. Dès 1606, il est nommé professeur d’histoire dans l'université de cette ville.
Rue
Il y a une rue François Guillimann à Fribourg.
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