« Concorde (avion) » : différence entre les versions
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La commercialisation de cet avion a été stoppée en 2003 après un accident survenu en France (Vol 4590 Air France). Lors de l'accident, le Concorde va aller s'écraser sur un hôtel suite à un roulage sur une pièce d'un DC-10 de Continental Airlines. Une des roues a alors rencontré cette pièce métallique ce qui a provoqué un éclatement du pneu. Il a été alors projeté sur un réservoir, percé de l'intérieur à cause d'un effet d'onde de choc. L'essence s'en échappe alors. Soudain alors qu'elle s'échappe, les câbles de commandes de trains sont sectionnés et à cause du vent, se tortillent en faisant des étincelles. L'électricité et l'essence unis créent des flammes. Tout cela se passe en quelques secondes mais quand la tour de contrôle remarque qu'il y a des flammes sortant de l'avion, le Concorde a déjà passé V1, il est donc trop tard, l'avion doit décoller. Le pilote décide alors de se poser à l'aéroport du Bourget (qui est maintenant aussi un musée de l'aviation et de l'espace près de Paris) mais le Concorde a déjà perdu trop de vitesse, il décroche et s'écrase sur un hôtel. On dénombre 113 morts dont 9 membres d'équipage et 4 personnes au sol. Un routier a filmé l'accident. |
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[[Image:220px-Concorde Roissy.JPG|thumb|right|Le Concorde exposé à Roissy]] |
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== Nez basculant == |
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Le nez du Concorde doit adopter une forme aérodynamique pour le vol supersonique, il est donc très haut, cette caractéristique étant gênante pour la visibilité au sol. Il est donc basculant. |
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-nez et visière relevés pour le vol supersonique et le stationnement |
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Dernière version du 6 mars 2015 à 22:03
 | Ce terme peut avoir une autre signification. Pour les autres définitions, lis Concorde ! |
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Le Concorde est un avion de ligne supersonique destiné au transport de passagers. Il est le seul avion commercial à voler à Mach 2.2, c'est-à-dire 2754 km/h.
Entré en service en 1976, l'utilisation du Concorde a cessé en 2003.
Histoire
Le Concorde a été réalisé par deux constructeurs différents : la Société nationale industrielle aérospatiale (France) et la British Aircraft Corporation (Royaume-Uni).
Son premier vol d'essai date de 1969. Il a ensuite été commercialement exploité pour le transport de passagers à partir de 1976 par les compagnies aériennes Air France et British Airways.
La commercialisation de cet avion a été stoppée en 2003 après un accident survenu en France (Vol 4590 Air France). Lors de l'accident, le Concorde va aller s'écraser sur un hôtel suite à un roulage sur une pièce d'un DC-10 de Continental Airlines. Une des roues a alors rencontré cette pièce métallique ce qui a provoqué un éclatement du pneu. Il a été alors projeté sur un réservoir, percé de l'intérieur à cause d'un effet d'onde de choc. L'essence s'en échappe alors. Soudain alors qu'elle s'échappe, les câbles de commandes de trains sont sectionnés et à cause du vent, se tortillent en faisant des étincelles. L'électricité et l'essence unis créent des flammes. Tout cela se passe en quelques secondes mais quand la tour de contrôle remarque qu'il y a des flammes sortant de l'avion, le Concorde a déjà passé V1, il est donc trop tard, l'avion doit décoller. Le pilote décide alors de se poser à l'aéroport du Bourget (qui est maintenant aussi un musée de l'aviation et de l'espace près de Paris) mais le Concorde a déjà perdu trop de vitesse, il décroche et s'écrase sur un hôtel. On dénombre 113 morts dont 9 membres d'équipage et 4 personnes au sol. Un routier a filmé l'accident.
Nez basculant
Le nez du Concorde doit adopter une forme aérodynamique pour le vol supersonique, il est donc très haut, cette caractéristique étant gênante pour la visibilité au sol. Il est donc basculant.
Les positions du nez sont :
-nez et visière relevés pour le vol supersonique et le stationnement
-nez relevé et visière baisée pour le vol subsonique
-nez abaissé à 5 degrés pour le décollage et le roulage
-nez abaissé à 12,5 degrés pour l’atterrissage
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