Vallée du Rhône (Suisse)

Vallée du Rhône

La vallée du Rhône se trouve au sud-ouest de la Suisse. Ca se trouve au Valais. Les éléments importants du paysage sont: les montagnes et le Rhône. Les éléments naturels sont: les montagnes et la rivière. Les éléments dus à l’humain sont: les routes et les cultures de fruits: des raisins, des fraises, des abricots, des pommes... Les gens habitent autour des champs et dans les villes: Sion, Martigny... Les habitants utilisent leur territoire en faisant des cultures. Il y a environ 86’000 habitants sur les quatre villes principales: Martigny, Sion, Sierre et Brigue. La majorité des habitants sont des agriculteurs. Ce sont les glaciers qui ont formé la vallée du Rhône qui est une vallée en U. Ce paysage est montagneux et naturel. La Vallée du Rhône se situe entre Brigue et le Lac léman.
Les activités économiques principales sont les cultures et le tourisme. Avec la haute température, ils peuvent planter des abricots ou autres. Il y a aussi de nombreuses industries chimiques. Il y a beaucoup plus de champs, de vignes... Les touristes viennent en particulier dans les plus grandes villes de la vallée comme: Martigny, Sion, Sierre et Brigue. Les touristes viennent particulièrement pour faire   du shopping, visiter des châteaux, des musées et pour diverses autres choses. On se déplace entre autre en voiture, en bus et par chemin de fer. A Martigny, il y a un musée archéologique important. Le nom de la ville de Sion vient du Latin: «Sedunum» ou <<Sedo Dunum>>= siège du château. Il y a eu un important incendie a Sion le 24 mai 1788. Il y a eu les jeux olympiques d’hiver en 1968. La vallée du Rhône s’étire à 80km. Martigny est un lieu de passage, de rencontres, d’histoire et de culture. Le paysage naturel se modifie en permanence d’une façon peu perceptible à l’aune de nos vies. Il faut l’œil des géologues pour suivre les mouvements de la croûte terrestre, les flux et les reflux des mers sur nos Alpes naissantes. Plus près de nous, des arbres pris dans les moraines viennent accréditer les tableaux du « Valais avant l’histoire » reconstitués sur la base d’un décompte de minuscules grains de pollens prisonniers des tourbes marécageuses. Ces analyses palynologiques nous renseignent sur l’histoire de la recolonisation des Alpes par la végétation après la fonte de l’inlandsis. Les reliefs des repas de nos ancêtres permettent de dresser la liste de la grande faune. L’absence d’archives comparables pour les batraciens et les insectes nous contraint à imaginer des scénarios plus ou moins plausibles, basés sur leur répartition et leur écologie actuelles, à la lumière de l’histoire de la végétation et du climat. Essayons de nous représenter le Valais d’avant les hommes avec sa végétation naturelle : une plaine marécageuse que sillonnent les bras multiples d’un fleuve sauvage encore sans nom. Les écrits de Rion et de Farquet sur les marais de Sion et de Martigny, les photographies et les croquis de Gams nous font voir des étendues où les dunes disputaient la place aux vasières, les roselières aux cariçaies, les pinèdes aux aulnaies, sous l’arbitrage puissant du Rhône.